Star's End, une histoire d'amour à écrire

L'arrivée de Zyrthys aurait sans doute été plus discrète si elle n'était pas arrivé avec une avarie aussi visible.
L'entrée dans l'atmosphère avait crée un panache de fumée visible à des miles à la ronde.

Oublié les titres de Sénatrice ou d'Impératrice.
Depuis qu'elle avait renoncé à Darl ...  Fini les fastes, fini le luxe qu'elle avait associé à son titre.

La pierre mauve autour de son coup était le dernier vestige qu'elle avait volé à sa nation.
Volé était peut être un grand mot, la pierre l'avait choisi, c'était un fait.

La porte d'Ormo s'ouvrit dans un gémissement, dévoillant l'astroport de Globalia, lumineux et agité, comme tout astroport digne de ce nom.

Ses tallons claquèrent sur les escaliers qui lui permirent de rejoindre le niveau de marche.

Un homme en costume semblait l'attendre, visage fermé. Il s'inclina quand elle s'avança jusqu'à lui et il l'invita à la suivre, sans autre forme de  procés.

Arcady s'installa dans le canapé du grand salon, il admirai à travers la baie vitrée le soleil couchant et les deux lunes qui éclairaient palement l'horizon.

Il interpella l'un des hommes de maison :

- Faites préparer la salle d'eau et la piscine. Ainsi qu'un repas pour deux personnes. Des nouvelles de l'astroport du Palais ?

- Pas encore Monsieur Delos, le vaiseau est encore en orbite basse autour de Globalia...

L'homme s'en alla rapidement a travers le couloir et fila préparer la salle.

Arcady se leva et ouvrit les épaisses portes de sa chambre privé. Allumant la penderie, il pris sur ses bras un costume noir. Puis il le lanca sur le lit, avec le pantalon qui lui corespondait.

Il prit ensuite le soin de regarder ses chemises et il en sorttit une blanche, clasique.

Ses sous vetements étaient rangés en dessous dans la commode, il prit un boxer puis ramassa le reste des habits et s'en alla dans la salle d'eau.

Le bain était pret, il s'habilla rapidemment et retourna au salon.

L'holovision s'alluma, diffusant le journal télévisé. La piece baignait dans un douce obscurité. Il s'installa confortablement dans l'un des canapés et regarda sa montre. Elle serait surement la pour le diner...

- Par tous les Dieux d'Irthys !

Le juron balancé d'une voix énervée émergeait de dessous du tableau de bord d'un cokpit sal.

Un bruit de tole, un gémissement plus tard et Zyrthys émergea des profondeurs de son vaisseau. Une trace d'huile sur le front qu'elle essuya d'un geste rageur, des cernes sous les yeux... Elle soupira.

Troisième cycles d'avaries sur son petit Ormo, vaisseau léger, pratique pour voyager vite et loin.

Elle se releva et son poing, rageur vint frapper la surface du cokpit.

Une voix douceuse s'éleva.

- La violance envers le materiel ne résoudra pas les problèmes qu'il engendre ...

Ses yeux roulèrent, elle n'avait pu parvenir à trouver d'où venait son problème, mais n'avait malheureusement pas réussi à déconecter la voix de l'ordinateur de bord.

Elle se laissa choir dans le fauteil qui faisait face à la console. Ses mains rejoignirent ses tempes pour un léger massage, étalant la tache d'huile un peu plus encore.

Ses paupières closent elle tenta de trouver un moyen de continuer à érrer indéfiniment dans l'espace.

-Tri ? Trouves moi les coordonées de la planète habitée la plus proche enregistrée dans la database. Calcules tant qu'on y est la possibilité d'y arriver.

Avec un léger ronronnement l'ordinateur de bord se mit à effectuer sa recherche.

- Globalia, arrivée potentiellement possible si le commandant arrête de déranger son appareillage !

Un rugissement jaillit de sa gorge. Comment une simple puce pouvait elle être aussi peu respectueuse ?

Globalia, elle se posa la question si l'ordinateur de bord était capable de faire un choix parmis plusieurs.

- Et bien ! Calcul de la trajectoire à suivre, et ouvres un canal des que pourrons être audible.

Pas trop vite ... Il ne faudrai pas que le dernier réacteur en marche nous lache avant d'être à porter d'onde ... Et puis il allait peut être falloir s'appréter aussi un minimum.

Ses paupières se clorent, le stress avait toujous eu le don de l'épuiser.

Ce soir la, Arcady rentra des proces se déroulant sur la planete Sénatoriale épuisé. Las de ces personnages à devoir accuser, las de devoir creuser encore et encore pour dénicher les preuves.

Sur le chemin menant au palais, il repensa au réconfort que saurait apporter sa conjointe. Cette pensée le fit sourire et il appuya machinalement sur le levier de vitesse de sa navette pour accelerer.

Les étoiles devienrent alors de plus en plus proches et bientot apparu la planete sur les écrans radars. Quelques instant supplémentaires et il aurait bientot en visu son palais, source de tous les réconforts en ces périodes troublées.

Bientot, la piste d'atterissage se dévoila une fois passé l'épais manteaux nuageux. La navette se posa silencieusement et le sas se décompressa: il était enfin chez lui !

Arcady descendit les quelques marches le séparant du sol et s'engouffra dans le jet anti gravité qui le mènerait au palais. Pandant qu'il voyait défiler les buildings de la capitale, il oublia alors les tourments de sa dure journée. Au loin, le soleil se couchait dans un écrin d'ocres et d'argent.

Il prit le temps d'allumer l'holo-vision dans la cabine et de commencer à se changer. Il était hors de question d'arriver au diner avec les vetement de la journée.
Il se débarrassa de son grand manteau blanc, enleva ses bottes et sa tenue militaire. Il prit alors sous le siege une chemise cintrée avec un costume noir. Il enfila rapidemment le pantalon et boutonna la chemise. Il mettrait la veste à la descente pour ne pas la froisser.

Le jet se gara et un majordomme vient lui ouvrir la portiere. Devant lui se dressait les imposantes portes du palais, solidement gardées par une dizaine de gardes.Rapidemment, il gravit les marches et pénètra dans le batiment. Le long des couloirs, d'énormes statues l'aceuillir en silence.

Il allait bientot pénétrer dans la salle à manger et rejoindre celle qui le soutenait depuis tant de temps...

Là où les étoiles meurt et où de nouvelles histoires commencent.

Attention ! ce blog est en lecture dans l'ordre chronologique d'écriture !

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